Sex, Alcohol and Rock'N'Roll
Alala j’ai toujours pas trouvé le temps de vous parler du
concert des cowboys fringants et encore moins du récent concert de Mademoiselle
K.
Et bien aujourd’hui je ne vais pas le faire non plus car j’ai
d’autres choses à dire, d’autres choses en tête.
En ce moment je n’ai qu’une chose en tête et ailleurs : le SEXE. Cette préoccupation tient moins de l’envie passagère que du besoin primaire. Je rappelle la définition socio-économique de ce terme car c’est celle qui m’intéresse pour mon propos. (Et puis un petit rappel ne te fera pas de mal). Les besoins primaires (..) correspondraient à ceux dont la satisfaction est considérée comme nécessaire à la survie (nourriture, protection contre le froid…). Bien entendu le sexe peut paraître bien plus secondaire que ces besoins là. Et bien pas pour moi en ce moment. "Ouais mais en fait on s’en branle de tes pulsions là sérieux." Oki, ben vas donc lire l’article plus bas il te parlera peut être plus.
Envie de sexe, besoin de sexe et mademoiselle est loin de moi,
elle n’y est pour rien bien entendu et le regrette au moins autant que moi. Ô
frustration, Ô peine, Ô entorse au poignet. Et oui entorse car je substitue ce
manque Ô combien cruel de sexe par le visionnage de film d’un genre bien
souvent mis à l’écart du 7eme art. Des pornos.
Ouais mais la branlette c’est bien beau mais ça nourrit pas
son homme. T’as beau t’être vidé, il ne s’est pas passé grand-chose de bien
excitant, bordel.
Moi j’ai envie de sentir son corps, sa peau brûler la mienne,
sentir son odeur, goûter le nectar qui abonde entre ses cuisses, être en elle,
mélanger nos sueurs. Et j’ai envie de ça avec elle. Bordel, je voulais
commencer par exprimer cela.
Bon, ça, c’est fait.
Passons à autre chose. En vrac… j’ai commencé à fracasser ma
caisse. D’abord au ralentit contre un olivier, le coffre. Ensuite le rétro
passager en me garant. La joie, la vie en moi…
Et un sacré week-end qui s’annonce, demain démontage, samedi
montage et dimanche montage encore et toujours. Et puis, même si demain c’est
du easy, du pas trop de stress, ben samedi et dimanche s’annoncent clairement
comme de vrais défis. Le terrain où l’on va se poser est plus que difficile, un
boulodrome, il fera chaud, chaud et encore chaud. Les journées seront longues
et surtout si ça va de travers, ça risque de péter mais bien comme il faut.
Malgré le manque de temps évident, j’ai très envie de
remonter un projet musical qui me ressemblerai. Ça irait du neo-metal efficace
et bien lourd à un son électronique bien gras et puissant, le tout avec une
certaine rage et un coté très décomplexé.
Faudrait que j’aille au ciné, ça me ferai du bien, j’ai une flopé
de film à mater.
Tiens hier au soir j’ai tester de l’absinthe ("black"
c’était écrit sur la bouteille). Elle était à 85° et m’a bien anesthésie la
langue à plusieurs reprises. Je suis rentré chez moi en ayant bu quelque chose
comme 6 petits verres pour boire cul sec, et deux verres de pastaga, le tout
sans encombre. J’ai mangé puis je me suis couché, trop défoncé et au réveil pas
de gueule de bois du tout… et en plus c’est très bon ce petit spiritueux qui décape
Bon ben j’vais mettre un point final à cet article hein.